[18:06] yoyo dit: nan mais vazy, trois bonnes raisons pour que j’aille sur facebook
[18:07] arthur dit: 1. niak y est, 2. j’ai besoin d’avoir des friends, 54 c’est pas encore assez, j’ai une copine qui est à 300, 3. euhhh :p
[18:08] yoyo dit: attention la réplique que vous attendez tous– j’ai dit trois BONNES raisons, et comment ça niak y est?

alors okay, pour la science, j’ai cédé, et aussi pour pouvoir dire sans a priori infondés : facebook, ça sert à rien. dans une certaine mesure, myspace est plus productif puisqu’on peut y promouvoir son groupe et qu’il y a(vait) peut-être quelque chose de vaguement contre-culturesque là dedans. si tu veux retrouver ta classe de quatrième b du collège patrick sébastien de jaunezy-en-provence, va sur copainsdavant plutôt, au moins les gens sont là pour la même chose que toi.

à quoi sert facebook? tu vas me dire que ça ne sert à rien, et que si tout devait servir à quelque chose dans ce bas monde, je ne serais sans doute pas en train de te faire chier en ce moment même. certes. mais ce genre de sites ultra égocentriques où le but avoué d’arthur et des autres est d’avoir plus d’amis que tes amis (au second degré parfois, ok) et surtout de le montrer, moi ça m’agace. je ne sais pas si je t’ai déjà parlé du complexe d’infériorité appliqué aux répertoires téléphoniques, d’une dimension toute adolescente “euh il est sans amis”, mais moi ça m’agace. un peu comme la tecktonik, et je n’ai pas trop l’envie de développer ma thèse sur le sujet, un jour peut-être. en deux lexèmes : no future.

la minute privée : ex-khâgneux(se) qui a cédé à la mode, check le groupe de l’asko sur facebook, les perles de verny, barrère et sur, avec des vrais morceaux de private jokes dedans, rien que pour ça tu veux t’inscrire (“le centre de l’espagne, c’était un no man’s land. un peu comme les deux premières rangées là.”)